Capture d'écran
Les
enquêteurs ont pu retrouver le corps de la petite fille grâce au
flair des chiens de la gendarmerie.
Sans eux, le corps de la petite Maëlys n'aurait sans doute pas été retrouvé aussi vite mercredi, dans ce ravin pentu au dessus de Saint-Franc (Savoie) où le suspect du meurtre, Nordahl Lelandais a indiqué s’être débarrassé du cadavre après plus de cinq mois de silence. Eux, ce sont les chiens de recherches de restes de cadavres du Groupe national d'investigation cynophile de la gendarmerie (GNIC)...
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